19 janv. 2015

#20 - 19 au 25 janvier 2015



Livres loisirs :

- Avancer Codex Alera, tome 1 - Les Furies de Calderon de Jim Butcher

Synopsis :

Depuis mille ans, les habitants d’Aléra repoussent les peuplades sanguinaires qui rançonnent le monde en usant de leur relation particulière avec les furies – les forces élémentaires de la terre, de l’air, du feu, de l’eau, du bois et du métal. Mais dans la lointaine vallée de Calderon, Tavi ne maîtrise encore aucun élément, à son grand désespoir. À quinze ans, il n’a toujours pas de furie du vent pour l’aider à voler, ou de furie du feu pour allumer ses lampes.
Pourtant, lorsque les féroces Marats font leur retour dans la vallée, le courage et l’ingéniosité de Tavi vont se révéler une force bien plus cruciale que n’importe quelle furie. Une force qui pourrait lui permettre d’altérer le cours de la guerre…





- Les Mondes d'Ewilan, tome 2 - L'Oeil d'Otolep de Pierre Bottero

Synopsis :

Le brûleur arrivait sur eux à une vitesse hallucinante. Ellana encocha une flèche, Edwin tira son sabre, Salim son poignard. Le cœur serré par l'angoisse, Ewilan comprit pourtant qu'ils ne pourraient pas arrête le monstre. Elle se glissa dans l'Imagination.



Livres cours :

- Les amours d'Ovide

Synopsis :


Si le lecteur, qui tient en mains ce livre, n'aime pas la légèreté, l'élégance, la grâce, le badinage, s'il ignore que le sérieux est compatible avec la futilité, qu'il ne l'ouvre pas, et qu'il condamne son auteur comme il condamnerait les “Illustres Bergers”, Théophile, Tristan, ou encore La Fontaine, Marivaux, Choderlos de Laclos… Que cet improbable lecteur, que l'imagination ne concevrait pas, si de nombreux critiques n'avaient reproché aux Amours d'Ovide leur légèreté, sans voir leur grâce, leur futilité sans percevoir leur sérieux, que ce lecteur donc évite aussi de regarder les tableaux de Fragonard et qu'il se méfie de Mozart. Si, malgré cet avertissement, il ouvre le livre, qu'il se réjouisse, comme il y est invité par l'épigramme liminaire, que l'édition nouvelle de l’œuvre soit plus brève que la première.
Aux autres lecteurs, qui aiment Mozart et Fragonard, les Amours apportent le plaisir, la voluptas, que le poète a éprouvé lui-même, en se jouant de tous les lieux communs et de tous les interdits pour révéler les mille et une surprises du désir amoureux et pour harceler sous les flèches de Cupidon la société compassée et hypocrite qui l'entoure.




- La tempête de William Shakespeare

Synopsis :


Au retour du mariage de la princesse Claribel avec le roi de Tunis, le vaisseau du roi de Naples, Alonso, qu’accompagne son fils Ferdinand, est pris dans une tempête et s’échoue sur une île habitée par un monstre, Caliban, et par un esprit aérien, Ariel. L’ancien duc de Milan, Prospéro, naguère évincé du trône par son frère Antonio, y vit depuis douze ans : or c’est lui qui a magiquement provoqué la tempête… Si La Tempête, dernière pièce de Shakespeare écrite en 1611, est une comédie, sa dimension comique reste discrète, et cette oeuvre singulière semble surtout l’équivalent d’un « masque de cour », spectacle total aux ballets bien réglés, avec chants et musique, où domine l’art de l’enchanteur. Et l’enchanteur est ici l’omniprésent Prospéro, qui a mis à son service Caliban et Ariel. Chassé du pouvoir, il exerce sa vengeance, mais ne refuse pas la main de sa fille à Ferdinand.



- La vie est un songe de Pedro Calderone

Synopsis :


La vie est un songe est l'un des chefs-d'oeuvre du théâtre espagnol du Siècle d'Or et, aussi, une des pièces les plus représentatives de l'esthétique et de la pensée baroques. Calderón, grâce à la fiction d'un prince injustement enfermé et élevé à l'écart du reste des hommes, met en scène le drame d'un esprit qui découvre un monde infiniment « ondoyant et divers », selon les termes utilisés par Montaigne pour décrire une expérience fort proche à bien des égards ; instabilité des êtres ... Lire la suite et des choses, illusion des sens et fascination des apparences trompeuses conduisent Sigismond à percevoir le néant de la condition humaine, de ses activités et de ses ambitions : - Qu'est-ce que la vie ? - Une fureur. Qu'est-ce que la vie ? - Une illusion, une ombre, une fiction, et le plus grand bien est peu de chose, car toute la vie est un songe et les songes mêmes ne sont que songes.


- Les Juives de Robert Garnier 

Synopsis :


Un peuple - des femmes surtout - sur le chemin de l'exil, un roi et ses proches livrés à la vengeance divine et envoyés au supplice par un tyran odieux proclament leurs souffrances. Pour évoquer, et tenter de comprendre, le scandale des guerres de Religion dans lesquelles il est plongé, Robert Garnier emprunte le modèle désespéré de la tragédie antique et tente d'y injecter un peu d'espérance chrétienne. Reconnue comme la plus belle expression du théâtre français au XVIe siècle, cette pièce s'élève comme une incantation, le spectacle d'une détresse hantée par la violence et la terreur. Confronté au mystère du Mal et à l'effroi qu'inspire un Dieu qui se venge, le théâtre renoue ici avec ses origines sacrées.

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